
Dimitri
OLIVIER
Auteur chez PunchLines Éditions

Dimitri OLIVIER est né à Tours en 1998. Passionné depuis l’enfance par les littératures de l’imaginaire, il cultive une imagination foisonnante nourrie par les romans, les mangas, les films et les jeux vidéo. Après un cursus littéraire, il poursuit des études de japonais, de didactique des langues et de français langue étrangère à l’INALCO à Paris, puis part en échange à l’université de Waseda à Tokyo, où il achève l’écriture de son premier roman.
Il rejoint en 2020 les éditions Nanachi avec qui il développe aujourd’hui sa première saga fantasy isekai [isékaï] Le Voyage d'Émy en cinq romans. En parallèle de son activité d’écrivain, Dimitri enseigne le japonais dans l’académie de Montpellier après avoir obtenu le CAPES. Il représente également Nanachi éditions dans le sud de la France et s’investit dans la promotion de la jeune création littéraire au sein de l’association Les Scriballonés, dont il est secrétaire général et trésorier.
En 2025, il signe avec PunchLines éditions pour la réécriture du conte japonais La Princesse Kaguya dans la collection Romance & Sortilèges, à paraitre au mois de novembre.
L'interview décalée
Soyons honnêtes, à combien de litres de thé / café / chocolat chaud doit-on attribuer l’existence de ce roman ?
Ouh là, plus qu’il n’en faudrait dans un corps humain ! Surtout le thé et le café… j’en abuse de trop…
Si ton livre était une spécialité japonaise, ce serait plutôt : un ramen bien réconfortant, un mochi tout doux, ou un wasabi qui arrache et laisse des séquelles émotionnelles ?
Je suis un grand fan des mochi, mais je dirai que c’est un ramen bien réconfortant.
Quel est le truc le plus bizarre que tu aies tapé sur Google en faisant des recherches pour ton roman ?
« Toilettes Période Heian ». C’était pour comprendre comment s’organisait une maison à cette époque.
Tu préfères la ville de Kyoto (traditionnelle et poétique), Tokyo (folle et rapide) ou encore Osaka (chaleureuse et électrique) ?
Je les aime tellement toutes les trois pour ce qu’elles apportent chacune, mais j’ai une attirance pour Tokyo, car j’y ai vécu un an. On y trouve de tout aussi !
Tu surprends un de tes élèves qui lit ton roman sous la table pendant le cours : quelle est ta première réaction ?
Haha. J’essayerai de me retenir de sourire, parce qu’il faut être professionnel avant tout ! Pas de punition, mais une remarque, on range le livre et on repart !